L'artiste prend l'habitude de recueillir toutes sortes d'objets divers et de les utiliser pour créer des sculptures hétéroclites. La femme, les rapports hommes-femmes, ainsi que l'érotisme, sont une source majeure d'inspiration du maître. La biographie de l'enfance raconte des faits indicibles sur la biographie de Celeb, l'histoire de la vie, la famille, les parents, la valeur nette, la vie amoureuse, les copines, l'épouse, les voitures, le mode de vie Son travail est perturbé par son déménagement et son installation à Palma de Majorque[G 18]. ]"Continental Circus" en remportant le Grand Prix d'Autriche à Spielberg au nez et à la barbe des favoris tels Brad Binder, Enea Bastianini ou encore le français Fabio Quartararo. En 1963, il crée Femme-insecte, Maquette de l'Arc à la Fondation Maeght. Il veut lutter avec la peinture[C 3]. » La signature de Miró est en soi un idéogramme qui constitue une peinture dans la peinture. En accord avec la volonté de l'artiste, la nouvelle institution devrait promouvoir la diffusion de toutes les facettes de l'art contemporain. ou. La toile Portrait de V. Nubiola annonce la fusion du cubisme avec d'agressives couleurs fauves[C 1]. Ce dernier l'avait déjà éloigné : la célèbre citation de Breton, faisant de Miró « le plus surréaliste d'entre nous », contient dans sa version complète de la condescendance, du mépris et non un éloge comme semble l'être la version tronquée. Les Galeries Dalmau de Barcelone accueillent la première exposition individuelle de Joan Miró, du 16 février au 3 mars 1918[9]. Il vit avec plaisir dans une profonde solitude, allant souvent se recueillir à la cathédrale pour écouter de la musique. Il l'a assassinée, peut-être, parce qu'il ne voulait pas s'astreindre à ses exigences, à ses esthétiques, à un programme trop étroit pour donner vie a ses aspirations, « […] entretiennent une relation d'amitié et de confiance, encore qu'on puisse avancer sans risques que le voisinage d'alors et l'amitié de toujours n'ait pas fait dévier d'un millimètre le chemin de l'un et de l'autre, « La lithographie en noir et blanc lui apporte l'exutoire dont il avait besoin pour exprimer des émotions violentes […]. Parmi les dernières toiles confisquées par la police, lors de l'Opération artiste, on trouve principalement des pièces de Miró, Picasso, Tàpies et Chillida[86],[87]. Miró est surtout le compagnon de route du mouvement et il mène avec discrétion sa propre expérience poétique et picturale, « […] qui le portera à l'extrême du possible de la peinture et au cœur même de cette surréalité véritable dont les surréalistes n'ont guère reconnu que les marges[G 27] ». Il se sent obligé d'orienter sa peinture dans une nouvelle direction. Le Disque rouge (huile sur toile, exposée au New Orleans Museum of Art États-Unis), Femme assise (1960, toiles IV et V) exposées au musée de la Reine Sophia, à Madrid. Joan Mir et la joie de revoir sa famille Mais le moment le plus spécial a été lorsqu’il est arrivé au Parc Fermé : « j’ai été très surpris d’y voir toute ma famille ! Bernard Heitz, « Miró, le tagueur d'étoiles », Yvon Taillandier, entretien publié en 1959, dans, Sous le même titre, Miró produit, en 1973, 13, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Homme et femme face à une montagne d'excréments, exposition internationale de Paris de 1937, Danseuse entendant jouer de l'orgue dans une cathédrale gothique, Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou, Lille Métropole Musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut, Peinture-poème « Une étoile caresse le sein d'une négresse », Joan Miró a la Viquipèdia, Estat de la qüestió el juny de 2016. petit-bulletin.fr du 17 juillet 2013, Grande bande – Joan Miró. Il soutient l'Espagne républicaine sans aucune réserve. Joan Mir Mayrata fait son apparition en grand prix dans la catégorie Moto3 en 2015 en wildcard. La dernière modification de cette page a été faite le 9 avril 2021 à 13:11. Il commence cette année-là une collaboration avec son ami d'adolescence, Josep Llorens i Artigas[6], pour la production de céramiques. Il doit maintenant lutter contre le réalisme, la tradition, la convention, l'académisme et le cubisme, et se frayer un chemin personnel au-delà de Duchamp et de Picabia, pour inventer un langage nouveau[G 5]. Après quelque temps, et devant l'insistance de Miró, le galeriste propose au peintre de partager l'œuvre en toiles plus petites afin d'en faciliter la commercialisation. Cependant, en 1978, l’Évêché refusa qu'il intervienne sur une œuvre pour la cathédrale de Palma arguant son athéisme[74]. Il s'initie au jeu du « cadavre exquis » surréaliste. Miró ne retourne en Espagne que durant les périodes estivales. Miró déménage durant l'année 1956 à Palma de Majorque, où il dispose d'un grand atelier conçu par son ami, Josep Lluís Sert. La même année, la galerie Maeght organise à Paris les expositions importantes de ses œuvres et, en 1954, il reçoit le Prix de la Gravure à la Biennale de Venise, aux côtés de Max Ernst et de Jean Arp[6]. Joan Mir et Alex Rins ont écouté les consignes de leur employeur et sont restés solidaires de leurs mécaniciens. Dans cette association, il rencontre Josep Francesc Ràfols, Sebastià Gasch, Enric Cristòfor Ricart et Josep Llorens i Artigas avec qui il constitue le groupe artistique intitulé Groupe Courbet[F 2], qui se fait connaître le 28 février 1918, en apparaissant dans un encart du journal La Publicitat[4]. En 1980, il reçoit la Médaille d'or du mérite des beaux-arts par le ministère de la Culture[44]. Miró indique avoir réalisé cette composition en pensant aux Chaussures de paysan, de Van Gogh, peintre qu'il admire. Joan Miró: Birth of the World Feb 24–Jun 15, 2019 3 other works identified. Elles sont réalisées sur un support de papier de 38 × 46 cm, que l'artiste imbibe d'essence et frotte jusqu'à obtenir une texture rugueuse. Après une longue méditation, celui-ci se consacre à son Labyrinthe. Dès cette année, Miró fait partie des artistes montrés en permanence à la Galerie surréaliste[6]. Dans de nombreux entretiens et écrits des années 1930, Miró manifeste son désir d'abandonner les méthodes conventionnelles de la peinture, pour — selon ses propres mots — « les tuer, les assassiner ou les violer », favorisant ainsi une forme d'expression contemporaine. L'année suivante, la ville de Houston dévoile Personnage et oiseau. Dans sa période surréaliste, l'œuvre de Miró la plus représentative est Le Carnaval d'Arlequin (1924-1925), exposée à la galerie Pierre, en même temps que deux autres de ses œuvres[G 27] : Le Sourire de ma blonde et Le Corps de ma brune[62]. Ce lieu devient un creuset effervescent où s'élaborent un nouveau langage et une nouvelle sensibilité. On a dit que les caroubiers de notre pays avaient accompli le miracle de le réveiller, mais ce sont bien des propos d'intellectuels de la Lliga. "Dans la famille, on a la vitesse dans la peau", raconte Samuel le papa. À partir de 1960, l'artiste entre dans une nouvelle étape de sa vie artistique qui reflète son aisance dans le graphisme. À la fin de la saison et après avoir tant travaillé, peu importe si j'ai peu de toiles. Ces toiles presque entièrement bleu monochrome rappellent par certains aspects les peintures d'Yves Klein[33]. Il fait la rencontre de Dolorès Ferrà i Oromí, la fille d'un ébéniste de Majorque avec laquelle il se marie[a]. J'y ai découvert tout ce que je suis, tout ce que je deviendrai. Les peintures de Miró sont également parmi les plus falsifiées au monde[86]. Ses toiles Portrait de madame Mills en 1750, Portrait de femme en 1820 et La Fornarina sont clairement inspirées des toiles homonymes de George Engleheart, John Constable et Raphaël, respectivement. Enzo est le fils de Samuel Bellon, rallyeman réunionnais. D'autres peintres surréalistes y exposent, parmi lesquels Paul Klee, dont les toiles impressionnent Miró[6]. À ses débuts, il montre de fortes influences fauvistes, cubistes et expressionnistes, avant d'évoluer dans de la peinture plane avec un certain côté naïf. Sunyer, s'il ne se décide pas à faire de longs séjours à Paris, va s'endormir à tout jamais. Cependant, Miró expérimente une large gamme de techniques pour confectionner ses peintures : pastel, peinture sur papier de verre, aquarelle, gouache, peinture à l'œuf tempera, peinture sur bois et cuivre, entre autres[6]. ». C'est notamment le cas pour les ouvrages de Breton Anthologie de l'humour noir (1950) et La Clé des champs (1953) ; pour René Char, Fête des arbres et du chasseur et À la santé du serpent ; pour Michel Leiris, Bagatelles végétales (1956) ; et pour Paul Éluard, À toute épreuve, qui contient 80 gravures sur bois de buis. Le travail sur l'espace et sur les signes conduit à constituer un véritable « mirómonde », selon Patrick Waldberg[48]. Son « lyrisme spontané de la ligne vivante, avec une progressive intrusion dans le merveilleux », aboutit ainsi à l'idéogramme dans un espace irréaliste[G 7] et à ces « tableaux à déchiffrer[20] », à partir desquels Miró aborde la série « que par commodité nous appellerons “les fonds gris”[G 8] », et dont Pastorale, La Lampe espagnole, Portrait de Mademoiselle K, La Famille, et Portrait d'une danseuse espagnole, font partie[G 9]. En 1936, le peintre se trouve à Mont-roig del Camp lorsque éclate la guerre civile. Bien que Miró ait déjà travaillé avec de grands formats, il ne l'avait jamais fait en utilisant des céramiques. Les fonds sont généralement sombres, peints sur papier épais, comme on peut le voir sur la toile Homme et femme face à une montagne d'excréments (1935), Femme et chien face à la lune (1936). Miro s'inspire en particulier de l’œuvre de l'apologiste majorquin médiéval Ramon Llull qu'il connaît en profondeur[73]. Braque a simplement invité son ami catalan à utiliser le procédé du « papier à report », une technique d'impression pour la lithographie. Ceux-ci mesurent respectivement 3 × 15 m et 3 × 7,5 m, et sont inaugurés en 1958. (Mise à jour après le Grand Prix moto du Portugal 2020), (Mise à jour après le Grand Prix moto du Portugal 2020), (Les courses en gras indiquent une pôle position; les courses en italiques indiquent un meilleur tour en course). C'est un procédé que Braque utilise lui-même, qui consiste à dessiner au crayon lithographique sur un papier préparé, ce qui permet le transfert par décalque, sur la pierre ou la feuille de zinc[G 12]. À l'inverse, le maître catalan n'a pas trouvé indigne d'aller à leur rencontre et même d'emprunter certaines de leurs techniques, comme le dripping ou les projections[G 19]. À Paris, en 1924, l'artiste rencontre des poètes surréalistes, dont Louis Aragon, André Breton, Paul Éluard, Philippe Soupault, animateurs de la revue Littérature et créateurs, en 1924, du surréalisme[G 5]. L'année suivante, il suggère la féminité par la grâce des lignes dans La Baigneuse, alors que dans Le Corps de ma brune, la toile elle-même évoque la femme aimée[24]. Miró respecte le vœu de son père et commence par étudier le commerce, à partir de 1907, pour avoir une bonne formation et réussir à être « quelqu'un dans la vie ». Ce dernier triptyque a été terminé dans un contexte politique douloureux, au moment de la mort par garrottage du jeune Salvador Puig i Antich, que Miró qualifie de nationaliste catalan, dans un entretien avec Santiago Amón pour El País Semanal (Madrid, 18 juin 1978[38]). L'année 1961 marque une étape particulière dans la production du peintre, avec la réalisation de triptyques dont l'un des plus célèbres est le Bleu, conservé dans son intégralité au Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou depuis 1993. Mir est un nom de famille notamment porté par : Joan Mir (1997-), un pilote de moto espagnol ; Mathilde Mir (1896-1958), une enseignante, résistante et écrivain française ; En 1983, en collaboration avec Joan Gardy Artigas, l'artiste réalise Femme et oiseau, sa dernière sculpture, qui est destinée à la ville de Barcelone. Les dernières œuvres de sa période « réaliste » sont terminées dès 1923 : Intérieur (La Fermière), Fleurs et papillon, La Lampe à carbure, L'Épi de blé, Grill et lampe à carbure[G 4]. La réalisation de ces gravures dure de 1947 à 1958[B 9]. Certains s'opposent à une action commune fondée sur un programme de Breton. Miró, furieux, récupère la peinture à son atelier avant de la confier à Jacques Viot de la galerie Pierre. Cependant, il ne s'attache pas à la simple description canonique des corps mais tente de les représenter de l'intérieur[24]. La date du mariage de ses parents demeure inconnue. Lorsque l'Allemagne nazie envahit la France, Miró rallie l'Espagne et s'y installe, d'abord à Mont-roig, puis à Palma de Majorque et enfin à Barcelone, de 1942 à 1944. Du 9 juin au 27 septembre 1969, Miró expose ses gravures à Genève dans « Œuvres gravées et lithographiées » à la galerie Gérald Cramer. Les personnages principaux de la composition picturale sont un automate qui joue de la guitare et un arlequin avec de grandes moustaches. Dès le début des années 1960, Miró participe activement au grand projet d’Aimé et de Marguerite Maeght, qui ont établi leur fondation à Saint-Paul-de-Vence. Il déménage dans un studio plus grand, rue Tourlaque, où il retrouve certains de ses amis, tels Max Ernst et Paul Éluard ; il rencontre Pierre Bonnard, René Magritte et Jean Arp. D'autres lieux possèdent d'importantes collections d'œuvres de Miró, comme la Fondation Pilar et Joan Miró de Palma de Majorque, le Musée national d'art moderne de Paris, le musée d'art moderne de Lille et le Museum of Modern Art de New York. Miró réalise une métamorphose de la réclame qu'il termine en figure féminine nommée La Reine Louise de Prusse[6]. Ces toiles reflètent probablement les sentiments de l'artiste peu avant la guerre civile espagnole et la Seconde Guerre mondiale. La série sur fond blanc et le triptyque Bleu I, puis Bleu II et Bleu III datent de 1961. L'abondante production de la fin des années 1950 et des années 1960 montre les affinités de Miró avec la nouvelle génération, bien qu'il en soit avant tout un inspirateur : « Miró a toujours été un initiateur, et ce plus que tout autre. Georges Hugnet explique que Miró ne peut se défendre qu'avec sa propre arme, la peinture : « Oui, Miró a voulu assassiner la peinture, il l'a assassinée avec des moyens plastiques, par un art plastique qui est l'un des plus expressifs de notre temps. Il se lie d'amitié avec les poètes Pierre Reverdy, Max Jacob et Tristan Tzara. C'est avec Artigas, dès 1944, que Miró atteint la maîtrise de cet art. Il travaille à la synthèse des éléments magiques déjà présents dans ses travaux antérieurs. Toujours en 1911, il entre à l'École d'art tenue par l'architecte baroque Francisco Galli, à Barcelone, avec la ferme résolution d'être peintre. Les objets deviennent autant de signes symboliques[6] et Miró réintègre la couleur vive dans ses peintures (La Naissance du monde, 1925, Paysages imaginaires, 1926, Chien aboyant à la lune, 1926). Elle réalise de nombreuses expositions à Barcelone, Paris, Londres, New York et Berlin, dont profite naturellement le maître. Les deux groupes se rencontrent souvent et nouent des amitiés chaleureuses. Fabio Quartararo, Johann Zarco, Jack Miller, Joan Mir, Alex Rins, Takaaki Nakagami, ... avec une famille et la tranquillité d’esprit, c’est l’apprentissage de la vie…. En 1915, il décide de s'installer dans un atelier, qu'il partage avec son ami Ricart. Sa femme et sa fille le rejoignent ensuite dans la capitale française. « Définitivement plus jamais Barcelone! Il ne veut se plier à aucune exigence, ni à celles de l'esthétique et de ses méthodes, ni à celles du surréalisme[5]. La présence d'amis sûrs et engagés dans la même aventure que lui hâte la rupture décisive qu'il est en train de provoquer[G 5]. Pourtant, c'est à Majorque, puis à Barcelone qu'il retrouve l'inspiration et que son style évolue de manière décisive entre 1942 et 1946, avec un retour aux sources et à la culture espagnole[G 24]. La série, « comme si l'absence de chevalet le délivrait d'une contrainte, « sursaut de la fureur iconoclaste de sa jeunesse, « Miró a toujours été un initiateur, et ce plus que tout autre. Cette toile est considérée comme une pièce clef de cette période réaliste[B 7]. Après son installation à Paris, et malgré les difficultés qu'il rencontrait, Miró écrivait à son ami Ricart en juin 1920 : « Définitivement plus jamais Barcelone! Son deuxième séjour aux États-Unis est déterminant. Paris et la campagne, et cela jusqu'à la mort ! Voir les photos. De nombreuses impressions de ses œuvres sont faites sur des objets de la vie quotidienne : vêtements, plats, verres, etc. Retrospective Miro au Grand Palais, Paris. Ces pièces sont d'abord exposées à Paris. Il mène des recherches sur la composition des pâtes, des terres, des émaux et des couleurs. Toutefois, si des œuvres de l'artiste ont été reproduites dans La Révolution surréaliste, si Breton l'a déclaré « le plus surréaliste d'entre nous » et si Miró a participé à une exposition collective du groupe, son adhésion au mouvement ne va pas sans réticences. Après une exposition personnelle aux États-Unis, il dévoile ses premiers collages préfacés par Aragon, à la galerie Pierre, de Paris[6]. La rumeur court que la pièce altère les pensées des surréalistes et des communistes. Personnes qui s’appellent Joan Mir Retrouvez vos amis sur Facebook Connectez-vous ou inscrivez-vous à Facebook pour communiquer avec vos amis, votre famille et les personnes que vous connaissez.