s’envolent à jamais les mots tu as eu droit à mes baisers chirurgicaux. L'amour est présent, mais c'est un thème secondaire. Tu savais, toi, que Fanfan le patron du Belvédère est clermontois ? où serait l’espoir du monde ? mais le soleil qui fait éclore en nous-mêmes, le meilleur Et que c’est, d’ailleurs, l’unique secret de nos états d’émerveillement. Une gaîté pour l’univers… Sans doute avait-il senti la nuit le recouvrir de son linceul. Qui me faisaient des signes de la main Et surtout pas l’amour ! Plein de brouillard ! Un désir nommé poésie… en vers et contre tout ! Puis le morceau devient plus passionné, poco a poco appassionato Jusqu’à ce que la mort la surprenne dans ton lit C’est parti ! toi je sais ce que tu dis Les Contemplations de Victor Hugo. – Albert Camus, L’homme révolté…. le Bon Dieu sans confession Et je ne veux pas sortir Ô vertige du désir ! Mais que Chopin ne voulut pas ( ou n’osa pas ) relever. Mot d'amour. A ce moment là, précisément, Leila se mordit les lèvres très fortement, comme si elle voulait empêcher le mot, « psychopathe », de sortir de sa bouche si sèche, qu’elle ne pouvait plus déglutir. Oui, bon passons. Imprimer Passé le XII e siècle, le rayonnement des successeurs des célèbres troubadours gascons, tels que Cercamon, Marcabru, Jaufré Rudel ou encore le co-seigneur de Marsan Arnaut-Guilhem, est plus limité. ni la privauté de ton corps, encore mystérieux et muet, encore d’enfant, SOlène « À moi la tasse ! Il joua une heure entière devant un auditoire qui, en muette extase, osait à peine respirer. les post-its survolent l’onde Qui brille dans la nuit de nos vies…, Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et si il existe une différence entre rêver et vivre. Merci pour ces sourires , ces baumes, et ces larmes aux yeux qui s’appellent tous espoir chez toi … Alors, après avoir fait éteindre toutes les lumières pour que l’obscurité soit totale, Liszt joua toutes les compositions que Chopin avait joué lors de cette mémorable soirée dont je vous ai parlé au tout début. « Cette absence, en d’autres temps, m’aurait fait chanter « Reviens, reviens »…. « C’est quoi ces guignols ? On était peut-être deux sur le coup, mais je venais de marquer un point. (Extrait de Chopin par Franz Liszt, page 222)…. ce n’est pas une fin en soi Elle se tortillait sur le siège inconfortable, les entrailles liquéfiées. Quand je laisse partir ce que je suis, je deviens ce que je pourrais être Quand je laisse partir ce que j’ai, je reçois ce dont j’ai beoin. Puis, ça a coupé, alors que Fanny me disait, « bisous, à dim… « . 12/02/1861 à Saint Petersbourg Et parce que j’ai repensé à l’acte de nuit dans « Tristan und Isolde » , en le reprenant au petit matin, voici O sink hernieder, Nacht der hierber …Un duo envoûtant interprété par la soprano Kirsten Flagstad et par le ténor Ludwig Suthaus, sous la direction de Wilhelm Furtwängler. Et voilà notre Chopin qui commence à montrer des signes d’impatience. Ai du coeur, Ai du coeur, baise la vie quand le navigateur, André Brunner alias Yull découvre sur un voilier un livre de Jules Verne, « Le phare du bout du monde ». pour se construire un rempart contre le monde J’ai rêvé Lucain » – Christian Bobin, L’épuisement, p.116, Éd. Eh bien, elle, Leila, se jura de remuer ciel et terre, mais elle saurait. Et d’après le poète lui-même, la transposition française d’Ibarra donne à ces textes «une nouvelle vie lucide et mystérieuse tout ensemble». – Lettre de René Char à Georges Mounin, 28 février 1944 (in Correspondance 1943-1988, Gallimard)…, Sushis, litchis,kakis et marshmallowsJ’ai préparé le plateau devant le petit écran éteintallumé une bougie parfumée à la vanillepour chasser l’odeur du gel hydroalcooliqueAmoureuse asymptomatique, j’écoute Simon and GarfunkelThe sound of silenceen attendant que mon stylo dégaine ces motsqui, d’avance, savent déjà tout de nousde nos peines comme de nos joiestout de cette éternelle idylleque je ne me lasse pas de réécrire pour toiAussi va savoir pourquoi ce soirla page reste blanche, ça ne veut pasJ’ai le regard qui s’égare dans le noir du cielet l’espoir qui fout le camp par momentsLes arbres pleurent, la terre tourne, indifférenteMaudit virus, tueur de rêves !Heureusement, la lune veille, sereineJe voudrais que tu te réveillespuis que tu m’appelles du creux de ta nuitet m’endormir comme avant dans le lit de ta voix;Vaincre la nuit, vaincre le jour, le manque de toiet ce froid qui s’abat sur moi quand les mots ne viennent pas…Heureusement, le navire du sommeil finit toujours par venirà travers les vents, les vagues et les étoilesJ’aime à penser que le navire ce sont tes bras aimantsme laisser porter sur les flots du tempset les yeux fermés, fixer le petit point lumineux.Alors je sais que le poème que je t’offrirai au matinil s’appellera « Etoile ». Extrait texte du document: « AMOUR LA POÉSIE (L'). j’ai de l’ennui tout autour Besoin d’un bon café, là –pas vous? En tout bien tout honneur. Et là, j’ai regardé passer les barques avec des gens Les thèmes de la guerre et de l’amour … Inch Allah, cette fois, c’était parti pour quatre ou cinq pages de prose intimiste pour essorer tout le dedans de son coeur. Recent Top. Étymologiquement, l’adjectif lyrique s’applique à une poésie destinée à être chantée, accompagnée d’un instrument à cordes, la lyre, symbole du dieu Apollon (dieu grec du soleil et de la poésie). Et moi, je me demande Après ?… Je ne sais plus. Le temps qu’il fait…. Elles se transforment en flaque devant vous. Je le sais pour l’avoir vu au journal télévisé. La poésie tend à communier avec les choses, comme l'amour s'efforce de se confondre avec . Au XVIe siècle en Allemagne, Valentin est appelé à la guerre mais il ne craint pas pour sa vie (grâce à son médaillon sacré). Après, impossible de la joindre, elle avait éteint son portable. Je peux pas changer le monde Son amie occupait tellement son esprit qu’en se regardant dans la vitrine du libraire, en bas de leur immeuble, elle la vit derrière elle, puis posée sur son épaule, comme une colombe. Quand la musique s’arrête, le silence solennel qui suit, Rien qu’à t’imaginer là, « Oursi Ourson Ourzoula Nous quittons notre peau, nos artifices et nos poids pour nous élever, pour grandir et être beaucoup plus fortes…Une des plus belles phrases de ce livre, et que je viens de retrouver dans mes notes: « La meilleure terre pour semer et faire pousser de nouvelles choses est le fond de tout. Celui-ci est extrait du recueil « Les amours de Psyché ». On se retrouvera dans une autre, pour ne plus se quitter, c’est certain, En attendant je ne sais plus quoi te dire que tu ne saches déjà Et si la liberté consistait à posséder le temps ?Et si le bonheur revenait à disposer de solitude, d’espace, de silence – toutes choses dont manqueront les générations futures ? Des longues nuits d’hiver sans sommeil, Et tu m’apporterais toi, Depuis que tu es partie encore et toujours ce même vent qui gonfle les voiles de plaisance La terre est bleue comme une orange est le premier vers du 7ème poème du premier chapitre "Premièrement" composant le recuei l "L'amour la poésie" dont le titre lui fut inspiré par sa fille de 10 ans. L'amour la poésie Paul Eluard. D’ailleurs, ça, elle me l’a raconté le lundi de Pentecôte, ça ne s’oublie pas ! "L'amour la poésie" fut publié en 1929 et fait suite au premier recueil "Capitale de la Douleur". Si tu veux avoir une vie vole là. Ainsi se déploie un monde d’explorateurs des arts et de leur histoire, orientalistes modernes animés d’un désir pur de mélanges et de découvertes que l’actualité contemporaine vient gifler. Fanny qui est du 24 mars m’a dit que l’anniversaire de Sam… purée, je me ferais jamais à ce prénom ! que tu frappes à la porte Je te l'ai dit pour l'arbre de la mer. lorsque le ciel se couvre de nuages sur les paysages d’une autre vie, À la lumière du présent, tout se reconstruit Transie de froid dans ces paysages La Poésie Au Théâtre Poésie Et Sculpture Poésie Et Musique Poésie Et Peinture. Un beau mufle qui tétait son barreau de chaise en se fichant pas mal d’incommoder sa voisine de comptoir. Enfin quelque chose d’immensément transparent, et profondément attirant qui donnait envie de plonger dedans. nue comme un vers dans l’appartement À partir du xii e s., la conception de l'amour courtois inspire la poésie lyrique en territoire de langue d'oc, et c'est chez les troubadours du Midi de la France que la fin'amor trouve son expression la plus spécifique, avec la chanson courtoise. Consulte plus de 198008 documents en illimité sans engagement de durée. Et parce que c’est vous): …”Deux couvertures dessous, deux dessus, voilà notre couche palmyréenne ; Sarah s’était roulée en boule contre moi, le dos près de mon ventre. Liszt était vengé. Citation de Maxalexis ; Baiser passion - 1999. Consultez ces citations sur l'amour ou nos citations classées par thèmes et mots clés. Elle repose maintenant aux côtés de son mari et son fils au cimetière de Faye-L’Abesse. »… Aussi Fanny l’avait envoyé balader, lui répondant que ce n’était pas parce qu’elles étaient now colocataires, que ça l’autorisait à s’immiscer dans sa vie privée. Je rêve que je dors – Jorge Luis Borges, Je suis le seul homme sur la terre et peut-être Pour les faire bouger, il faudrait des arguments autrement plus béton que le simple fait d’avoir été plantée par ma meilleure amie, avec un loyer de deux mille Euros sur le dos. Après 40 ans de scène Eda n’avait aucun regret, si ce n’est de ne pas avoir été AÏDA à la scène. Ces poésies étaient souvent chantées en public et accompagnées de musique. Alors j’ai pris tes photos La nuit descend sur Vienne et sur l’appartement où Franz Ritter, musicologue épris d’Orient, cherche en vain le sommeil, dérivant entre songes et souvenirs, mélancolie et fièvre, revisitant sa vie, ses emballements, ses rencontres et ses nombreux séjours loin de l’Autriche – Istanbul, Alep, Damas, Palmyre, Téhéran… –, mais aussi questionnant son amour impossible avec l’idéale et insaisissable Sarah, spécialiste de l’attraction fatale de ce Grand Est sur les aventuriers, les savants, les artistes, les voyageurs occidentaux. Pour faire sa démonstration de feu d’eau – Eh bien ! mais le silence… Si vous allez un jour au Café de la Place, et que vous trouvez pas de cendriers sur le comptoir, vous saurez pourquoi : Moune les considère comme des armes de destruction massive. C’est comme hurler en silence la nuit Et pourtant pourtant… J’aime bien…. Par Nolwen Leroy pour changer. paisible et resplendissante comme un bonheur que choisit la mémoire, – Peu d’êtres en ont encore un petit peu après les vingt ans passés de cette affection facile, celle des bêtes. Oh pars 3 - Éloge de l'Amour de Jean de La Fontaine, extrait du recueil Les Amours de Psyché (1669). Etudiante en lettres, Gladys rendait de menus services aux gens de l’immeuble qui la gratifiaient d’un billet, en échange de quelques courses chez les petits commerçants du coin, un coup d’aspirateur par ci par là, une peu de baby-sitting… enfin tout ce qui lui permettait de finir le mois, sans trop crever la dalle. Retrouvez tous les poèmes du recueil L'amour la poésie par Paul Eluard, les plus beaux poèmes de Paul Eluard avec Cultivonsnous.fr. Où il faisait si froid que le vent en soufflant J’ai rêvé la journée d’hier 6 citations < Page 1/1. Il fut, au milieu du siècle dernier, l’initiateur de ce qu’on appelait ( ironiquement), « la Musique de l’avenir »… « la musique des trois grands incompris », Berlioz, Liszt, Wagner. Une vidéo superbe: « Mariage d’amour » ( Weding of love en anglais) est une célèbre composition de musique classique contemporaine pour piano et orchestre symphonique composé en 1978 par Paul de Sennevile ( né en 1933) et enregistrée avec succès par le pianiste parisien Richard Clayderman pour son album » Lettre à ma mère » de 1979. Alors j’ai appris la solitude et le silence En 1929, le surréaliste Paul Eluard, publie un recueil de poésies intitulé L'amour, la poésie. L'Amour de la Poésie. qui donne à la vie LES SENTIERS ET LES ROUTES DE LA POÉSIE LETTRES À GALA (1924-1948) Dans la collection Poésie CAPITALE DE LA DOULEUR suivi de L'AMOUR LA POÉSIE LA VIE IMMÉDIATE précédé de L'ÉVIDENCE POÉTIQUE et suivi de LA ROSE PUBLIQUE et de LES YEUX FERTILES Suite de la bibliographie enfin de volume DU MÊME AUTEUR Extrait de la publication Un homo intellectus qui s’était ouvert un bouquin au moment juste où l’écrivaine refermait le sien. L’esprit raisonne, l’âme résonne Et je m’ennuie à mourir – Ah bon, encore. Le hic : quand la bête a mal, elle reste imprévisible. -J’en sais rien. Çà, que ce mal j’apaise,En t’en donnant dix autres doucereux.Ainsi, mêlant nos baisers tant heureux,Jouissons-nous l’un de l’autre à notre aise. Et l’année va-t-être facile à trouver, puisque d’après Fanny encore, Sam avait dix ans, l’année où Elvis Presley est mort. Et le sommeil lui rend le ciel de sa couleur. sans l’amour, sans moi. Un mot doux et elles fondent. On ne peut pas mentir en poésie. 31 mai 2016 - Critiques (23), citations (210), extraits de Capitale de la douleur (suivi de) L'amour la poési de Paul Éluard. Pour chaque vague pour les oiseaux dans les feuilles. Oh, et puis vogue la galère ! Et vous savez quoi ? -« L’homme n’était pas si gentil que ça… Quand il arrivait, il ne nous donnait pas la main, ni ne nous embrassait, il se contentait de lever sa main et de dire : « Hi ! Chaud, froid, mal nulle partmal partoutJe dors je me réveilleJe dors sur les braisesd’un amour presque mortJe me réveille quand le jourprend la place de la nuitJe me réveille sans savoir l’heure qu’il est.Ni le moisJe ne sais pas je ne sais plusSi c’est toujours l’automneOu déjà l’hiverle chagrin qui m’oppresse.Ou le resteJ’ai le cœur lourdet le corps qui frissonnecomme les branches du dehorsque le vent déshabille dans le froidLe corps qui ne sait pas, lui non plussi il existe encoreJe rêve alors d’une mise en sommeild’une durée illimitéepuis qu’on me réveillequand tout ça sera finiSinon je le sais, je vais mourirnon pas de la maladiemais du manque de toidans le lit de nos ébats. Au propos du poète Rainer Maria Rilke, Lou ANDRÉAS-SALOMÉ écrira ceci : « Si j’ai été pendant des années ta femme, c’est parce que tu as été pour moi la première réalité tangible, le premier être humain chez qui le corps et la personne étaient indissociables, évidents comme la vie. » ( Extrait de Chopin par Franz Liszr, page 234). Alors que moi, je voudrais juste entendre ta voix M’oublier dans un instant de rêverie contemplative. La légende dit que toute son enfance a été bercée par les romans de Jules Verne. Bornéo, aux dernières nouvelles)…. un seul n te suffirait, Quant a toi, là-bas, tout là-basmon inspiration perdue dans l’infiniment blancl’infiniment pur des grands froids sibérienss’il te plaît, rends-moi mon sourireque tu as emporté avec toile jour où tu es parti voir ailleurssi tu y étais…, La route a été longueIl est une heure après minuitquand je m’arrête devant la maisonLe ciel est noir, la rue est blancheles mots s’effacent sur le parebrisecomme les flocons dans le va et vientlancinant des essuie glaces, Addio, del passato bei sogni ridentiAdieu, du passé beaux rêves rieurschante la Callas…, Je lève le son, ravale mes larmeset les mots que je ne dirai pasne sont plus que neige fondueNotre belle histoire a pris l’eau encore une fois peut-être était-ce la fois de tropJ’ai mis des pulls chauds dans la valise,pris mes cliques et mes claquesde bon matin, sans éteindre le sapinNi même avoir refermé la porte de l’appartementMais je n’irai pas pour autantme noyer dans le lac, Le gioie, i dolori tra coco avian fineLes joies les peines finiront bientôt, Je ne laisserai pas, non plus, se taire les oiseauxencore moins le rire de mon cœurPlutôt laisser se tarir les pleurssur l’agonie de mon moi, Non lagrima o fiore avra’ la mia fossa,aucune larme ni fleur n’aura ma fosse. Dont on ne tiendra pas rigueur à l’auteur. qui devastèrent Carthage Un jour j’ai senti sur moi brûler tes mains. des grandes solitudes sauvages J’ai le cœur lourdet le corps qui frissonnecomme les branches du dehorsque le vent déshabille dans le froidLe corps qui ne sait pas, lui non plussi il existe encore. J’ai perdu mon amour, et le sommeil avec Elle a épousé le maître d’arme du conservatoire de musique et de danse de Paris, Pierre LACAZE ( qui a formé 40 ans durant les plus grands épéistes français à l’INSEP)Une des premières cantatrices noires ( aux côtés de Barbara Hendricks et Nessie Norman… ) Christiane Eda-Pierre n’a jamais eu aucun complexe de couleur. Derrière, les jours et les nuits de délire et fièvre * à se dire, « je me suis chopé le covid, je vais mourir ». Fleur liberté Rouge amoureuse . les vieux chagrins d’hier s’inclinent palpiter le vol de l’inspiration, Oui: je suis un rêveur. – André Breton…. reprit vivement Chopin; nous avons chacun notre genre, voilà tout. C’est l’heure où mille et un points d’ordessinent le pont entre l’îleet la ville qui dortL’heure tranquille où je veilleen écoutant la Callasles yeux dans le vagueà la lueur des flammesSe pourrait-il alorsque je sois comme Carmenou madame Butterflyperdue dans les méandresdu sentiment amoureuxau prisme du chimismed’une quelconque dépendance ?Je sais, la vie n’est pas un opéraCe que je vis, n’a rien d’un drameMais pourtant…Oui, pourtant tu me manquesTu me manques de tous ces matins ouatéeaux odeurs d’iodeet de café au laitTu me manques de toutes les maréesde toutes ces journées hivernalespassées sans toiTu me manques de tous les après-midi trop courtsde tous les rayons de soleil, du lever au coucherEt jusque dans ces nuits d’ombresOù la mer immobile et muetteRêve de la lune absenteLes mouettes aussi se taisentquand les lumières qui scintillentsur la côte, au loindonnent a ces nuits de décembredes grands airs de ciel étoiléImagine-toi tout simplementun de ces moments flottantsOù l’on oublierait presqueque le temps passe inexorablementau-delà du parfum des rosesVoire même au delà de soiet de toutes ces chosesque l’on a pu se dire autrefoisLes paroles, depuis, ont recouvréleur silence réparateurEt les mots, comme des oiseauxont fait leur nidpour mes poèmes en proseTout va pour le mieuxdans le meilleur des mondesC’est juste que je sais pascomment oublier quelqu’unqui me faisait oublier tout le reste, Entre deux cielset deux amoursun bonheur virtuelqui n’existe paset n’existeraprobablement jamaiset celui bel et bien réeldes petites chosesqu’elle vit au quotidienLally, mon héroïnemon doublese cherche encoreet toujoursdans l’eau troublede ses sentiments, Le front aux vitres, un matinJe la revois, à travers la pluietentant de passerentre les gouttesde sa connerie…Et moi, perdue dans son histoireentre dune et sablon, l’après-midiMoi qui n’aime rien tantque ce mélange intime et diffusde sable et de seld’embruns et de larmesj’écris le soirshootée aux bruines de l’océanet aux couleurs du cielA tous les ciels, en faitY compris ceux de l’amourEt des orages de la vie, Mais de quelles amours parlent-on ?Matt Pygmalion, homme de chairou sujet littéraire ?Mon héroïne et moi, sommesamoureuses du même hommecomme Norma et Adalgisa dans Casta Divaécouté la nuit pour couvrirles cris des étoiles filantesqui traversent le ciel comme en rêve. Tout ce que je peux te dire, c’est qu’en novembre dernier, Fanny est partie tout un week-end. -Nan, finalement, j’prendrai un kawa, plus tard. J’ai rêvé le jaune, le rouge, le bleu – Jorge Luis Borges…. Laissant mon corps à demi nu encore tout frémissant Les premières violettes sauvages du marais… A faire sécher pour les mettre entre les pages De mes livres de chevet…. aux questions spirituelles que tu te poses C’est vrai – et d’ailleurs, je n’ai jamais dit le contraire: je fuis. Comment n’avait-elle pas pensé plutôt à cette histoire de colombe que lui avait racontée Fanny, après ce vol transatlantique pourtant mémorable ? Il aurait pu être son père. -Alors ça, mystère et boule de gomme ! Encore moins dans cette jungle truffée d’homos sapiens cradingues et débraillés. Alors… bonjour tout le monde, d’abord. 4 - Le chemin de l'amour de Sabine Sicaud, extrait du recueil Les chemins (1920). Boris Vian aimait bien surnommer sa femme Ursula Kübler « Ourson ».C’est donc à elle qu’il adresse cette adorable déclaration d’amour. Le bonheur ne chausse que les bottes du provisoire. C’est juste une impression que j’ai eue en voyant la photo de ce type. il y a une araignée qui, tranquillement, tisse sa toile à la lueur des flammes; je n’ai plus pour m’exprimer choses mais que j’oublie vite Un partage sans reste, un échange sans perte. 4 talking about this. À mes poèmes d’amour, s’ajoutent ceux sur les fleurs, les arbres et la nature, en général. Jusqu’en 1859, tout en composant ses grandes œuvres, les Poèmes symphoniques, Faust, Dante, le Christ, Sainte Élisabeth, la Messe de Gran et pour piano, deux concertos, une Sonate,et d’autres œuvres de moindre importance, Liszt prit, grâce à sa position de kapellmeistet grand-ducal « extraordinaire », dans l’ancienne ville de Goethe, la tête du mouvement musical moderne. Toutes les rudesses sauvages lui inspiraient de l’éloignement. Et tu me dirais c’est moi sans pour autant percer le mystère des fleurs sauvages. Qui ne disait pas son nom Après avoir repoussé machinalement la tasse fumante un peu plus loin sur le comptoir, elle a continué sa lecture à haute voix : Bien qu’elle disait « je ne suis pas une diva », « je n’aime pas ce mot diva », Christiane Eda Pierre a été une des plus grandes cantatrices françaises Elle a côtoyé les plus grands chefs d’orchestre ( Lorin MAAZEL, Georges PRÊTRE, Pierre BOULEZ, Emmanuel KRIVINE) et les plus grandes voix ( José VANDAM, Luciano PAVAROTTI, Placindo DOMINGO ), et elle a chanté sur les plus grandes scènes internationales. Le tirage au sort aura lieu le 15/12 prochain. Va à la ligne Cependant, cela signifie-t-il que la vocation absolue de la poésie est de célébrer l’amour ? Depuis la nuit des temps. C’était la panique dans sa tête à Angel. En plus, nous partageons le même appartement. je les pendues au mur Assise à la table ovale en marbre recouvert de deux sets aux couleurs indiennes, Leila qui avait rempli d’eau bouillante un mug anglais, rajouta un sachet de thé vert. méconnaissables d’un marais Trop vieux pour elle, d’abord. Que je vous dise: la scène que je vais vous raconter pour commencer, elle se passe à Nohant, la très très célèbre propriété de George Sand. Les jours de bonheur radieux, de joies envolées, ton sourire sous ton masque blanc, Lors double vie à chacun en suivra.Chacun en soi et son ami vivra.Permets m’Amour penser quelque folie : Toujours suis mal, vivant discrètement,Et ne me puis donner contentementSi hors de moi ne fais quelque saillie. ne pas pouvoir y aller Rien de compliqué, il suffit de mettre le titre de votre poème préféré dans un commentaire. Citations L'Amour la poésie (1929) Sélection de 6 citations et proverbes sur le thème L'Amour la poésie (1929) Découvrez un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase L'Amour la poésie (1929) issus de livres, discours ou entretiens. Je rigole, mais sur le coup sa présence avait jeté un froid. Mais peu importe, au fond, ce que les autres croient où je n’aurai plus à fouler ces longs seuils mouvants, Que ferais -je sans ce monde sans visage sans questionsoù être ne dure qu’un instant où chaque instantverse dans le vide dans l’oubli d’avoir étésans cette onde où à la fincorps et ombre ensemble s’engloutissentque ferai-je sans ce silence gouffre des murmureshaletant furieux vers le secours vers l’amoursans ce ciel qui s’élèvesur la poussière de ses lests«que ferai-je je ferai comme hier comme aujourd’huiregardant par mon hublot si je ne suis pas seulà errer et à virer loin de toute viesans un espace pantinsans voix parmi les voixenfermées avec moi, Poèmes et textes pour rienSamuel BECKETT (1906-1989). Qui cherchait un peu de fraîcheur à côté d’un vieux puits Qu’on peut être une jeune-femme et à la fois une vieille âme Prenez soin de vous. je n’ai jamais dit le contraire: mon amour Je dédie L'amour et la poésie procèdent du même désir es- sentiellement humain de créer et de durer, de contem- pler et de louer. ou m’emprisonner. Eh bien, en ce moment je suis gâtée, c’est cocooning tous les jours. Les autres, pas de panique: vous avez jusqu’au 14/12 pour nous dire quel est votre poème préféré parmi les 4 proposés ICI *. L'amour et la poésie procèdent du même désir es- sentiellement humain de créer et de durer, de contem- pler et de louer. Attends, y’a rien dans ce bled, à part Michelin. Et que certains rêves meurent Ainsi, toucher le fond, même s’il s’agit d’un acte extrêmement douloureux, est aussi un terrain plein de semences”, ( La parution de mon deuxième recueil de poésie est prévue fin du premier semestre 2021, après « Betail intime, journal d’une conne qui se soigne » en début d’année), Et puisque cette crise sanitaire ne nous laisse pas le choix, et que je suis en convalescence, quitte à affronter la solitude, je compte bien profiter de cette période pour me consacrer totalement à l’écriture. Secouait les volets qui grinçaient des nuits entières La feuille; Charles Baudelaire. Tu disais que je m’en aille